Chilchflue et Schilthorn
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Par une journée chaude et splendide, nous nous rendons à Kiental avec le premier car postal. Bien que la haute saison tire vers sa fin, le bus est encore très plein, mais comme d'habitude la plupart des randonneurs poursuivent leur route vers Griesalp. Nous parcourons la longue vallée de Spiggegrund jusqu'à Glütschnessli, où la montée commence réellement. Je ne connais pas encore ce chemin et suis très curieuse de découvrir cette voie d'accès au Schilthorn. Il ne faut pas être rebuté par les longues marches, car à Kiental, le panneau indique un temps d'environ 6h30 pour le sommet du Schilthorn (je ne me rappelle plus exactement).
Lorsque nous arrivons à Hohkien, les paysans de l'alpage du même nom sont en plein déménagement: Aujourd'hui, ils redescendent avec leurs vaches. Je n'arrive pas à croire que l'été est déjà presque fini!
Malgré cela, une habitante du lieu accepte de nous servir à boire. Hohkien est un endroit particulièrement sauvage et retiré, impression confirmée par notre paysanne qui nous dit que même en pleine saison, le passage de randonneurs est peu fréquent.
Nous poursuivons ensuite en direction de Rote Härd dans un terrain encore plus sauvage, où d'ailleurs nous ne croisons personne. Avant d'arriver au col de Rote Härd, j'ai l'idée de faire d'abord un crochet par la Chilchflue, un sommet qui de ce côté est presque plat, donc facilement accessible même en l'absence de chemin balisé. Une fois au sommet, nous pique-niquons quasiment les pieds dans le vide, tournés du côté de Spiggegrund. L'endroit est impressionnant et offre un panorama spectaculaire. C'est vrai que du côté Est, le Schilthorn nous prend un peu la vue sur les 4000 des Alpes bernoises, par contre du côté Ouest, la vue est sans doute meilleure ici qu'au Schilthorn.
Le temps est tellement beau et chaud que nous faisons une sieste de presque une heure. En nous réveillant, force est de constater qu'entre-temps le ciel s'est chargé et annonce une dégradation météo imminente. Nous reprenons donc notre route en direction du Schilthorn. Là, se produit un petit miracle: nous apercevons un gypaète barbu qui se promène au-dessus de nos têtes. Quelle observation fantastique!!! L'oiseau fait des cercles et revient même plusieurs fois vers nous, me permettant de faire quelques belles prises de vue! Ce sera le hit de la journée!
Parvenues au sommet du Schilthorn, le ciel s'est tellement couvert qu'il semble qu'il va pleuvoir d'un instant à l'autre. Nous descendons donc en téléphérique jusqu'à Stechelberg. Et en effet, il se met à pleuvoir peu après.
Lorsque nous arrivons à Hohkien, les paysans de l'alpage du même nom sont en plein déménagement: Aujourd'hui, ils redescendent avec leurs vaches. Je n'arrive pas à croire que l'été est déjà presque fini!
Malgré cela, une habitante du lieu accepte de nous servir à boire. Hohkien est un endroit particulièrement sauvage et retiré, impression confirmée par notre paysanne qui nous dit que même en pleine saison, le passage de randonneurs est peu fréquent.
Nous poursuivons ensuite en direction de Rote Härd dans un terrain encore plus sauvage, où d'ailleurs nous ne croisons personne. Avant d'arriver au col de Rote Härd, j'ai l'idée de faire d'abord un crochet par la Chilchflue, un sommet qui de ce côté est presque plat, donc facilement accessible même en l'absence de chemin balisé. Une fois au sommet, nous pique-niquons quasiment les pieds dans le vide, tournés du côté de Spiggegrund. L'endroit est impressionnant et offre un panorama spectaculaire. C'est vrai que du côté Est, le Schilthorn nous prend un peu la vue sur les 4000 des Alpes bernoises, par contre du côté Ouest, la vue est sans doute meilleure ici qu'au Schilthorn.
Le temps est tellement beau et chaud que nous faisons une sieste de presque une heure. En nous réveillant, force est de constater qu'entre-temps le ciel s'est chargé et annonce une dégradation météo imminente. Nous reprenons donc notre route en direction du Schilthorn. Là, se produit un petit miracle: nous apercevons un gypaète barbu qui se promène au-dessus de nos têtes. Quelle observation fantastique!!! L'oiseau fait des cercles et revient même plusieurs fois vers nous, me permettant de faire quelques belles prises de vue! Ce sera le hit de la journée!
Parvenues au sommet du Schilthorn, le ciel s'est tellement couvert qu'il semble qu'il va pleuvoir d'un instant à l'autre. Nous descendons donc en téléphérique jusqu'à Stechelberg. Et en effet, il se met à pleuvoir peu après.
Tourengänger:
Cassenoix

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