Ammertenspitz
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Il fait froid à Adelboden mais, en quelques minutes, le téléphérique bondé nous emmène de l'ombre de la vallée au soleil éclatant de l'Engstligenalp, montant à côté d'imposntes cascades de glace. Il semble y en avoir pour tous ls goûts sur ce plateau d'altitude : ski de piste, ski de fond, promenades à pied, construction d'igloos... pas surprenant donc qu'il y ait beaucoup de monde.
Avant de commencer la montée, il faut d'abord traverser le plateau jusqu'à son extrémité sud-ouest. Grâce au réseau de sentiers pédestres damés, les raquettes sont inutiles pour cette première partie de l'itinéraire. Puis, chaussant enfin mes raquettes, j'attaque la première petite montée, qui mène à un second long replat. En un kilomètre et demi, on monte de cent mètres à peine.
Maintenant, les choses sérieuses commencent : 350 mètres de montée raide, le long du vallon qui mène à l'Ammertenpass. La neige est très dure et il y a une multitude de traces de skis et de raquettes dans tous les sens : pas évident de trouver la trace optimale. Certaines parties de la montée sont très raides, avec quelques dévers pas très agréables en raquettes. De part et d'autre, des pentes raides dominent l'itinéraire ; par mauvaises conditions de neige, le risque d'avalanche doit être assez important ici. Mais aujourd'hui il n'y a aucun danger : les pentes au nord-ouest du vallon sont dégarnies de neige.
Un dernier replat vers 2350 mètres permet de souffler avant la dernière traversée montante vers l'Ammertenpass (2443 m), sous les petites corniches de l'arête menant à l'Ammertenspitz.
Cette arête arrondie est assez raide dans sa première partie au-dessus du col. Il n'y reste que très peu de neige ; à partir de 2500 mètres il n'y en a plus du tout. Je laisse mes raquettes au pied de la dernière pente, que je remonte tout simplement en suivant les lacets caillouteux du sentier d'été.
Il y a énormément de monde au sommet et il est facile de comprendre pourquoi : avec une météo parfaite, l'endroit est somptueux et la vue absolument superbe dans tous les sens, dominé par le Wildstrubel au tout premier plan. Quelques cirrus apportent un petit plus en rompant la monotonie du ciel bleu.
Je redescends par le même itinéraire. Le soleil a réussi à ramollir la neige un peu, mais elle reste trop dure pour que la descente soit vraiment un plaisir. Pas de glisse possible sur cette vieille neige durcie, alors les passages les plus raides deviennent assez pénibles. Mais bientôt je suis de nouveau en bas ; les deux longs replats me paraissent interminables en fin de randonnée, mais la terrasse ensoleillée du Berghaus Bärtschi est en vue pour me motiver !
Avant de commencer la montée, il faut d'abord traverser le plateau jusqu'à son extrémité sud-ouest. Grâce au réseau de sentiers pédestres damés, les raquettes sont inutiles pour cette première partie de l'itinéraire. Puis, chaussant enfin mes raquettes, j'attaque la première petite montée, qui mène à un second long replat. En un kilomètre et demi, on monte de cent mètres à peine.
Maintenant, les choses sérieuses commencent : 350 mètres de montée raide, le long du vallon qui mène à l'Ammertenpass. La neige est très dure et il y a une multitude de traces de skis et de raquettes dans tous les sens : pas évident de trouver la trace optimale. Certaines parties de la montée sont très raides, avec quelques dévers pas très agréables en raquettes. De part et d'autre, des pentes raides dominent l'itinéraire ; par mauvaises conditions de neige, le risque d'avalanche doit être assez important ici. Mais aujourd'hui il n'y a aucun danger : les pentes au nord-ouest du vallon sont dégarnies de neige.
Un dernier replat vers 2350 mètres permet de souffler avant la dernière traversée montante vers l'Ammertenpass (2443 m), sous les petites corniches de l'arête menant à l'Ammertenspitz.
Cette arête arrondie est assez raide dans sa première partie au-dessus du col. Il n'y reste que très peu de neige ; à partir de 2500 mètres il n'y en a plus du tout. Je laisse mes raquettes au pied de la dernière pente, que je remonte tout simplement en suivant les lacets caillouteux du sentier d'été.
Il y a énormément de monde au sommet et il est facile de comprendre pourquoi : avec une météo parfaite, l'endroit est somptueux et la vue absolument superbe dans tous les sens, dominé par le Wildstrubel au tout premier plan. Quelques cirrus apportent un petit plus en rompant la monotonie du ciel bleu.
Je redescends par le même itinéraire. Le soleil a réussi à ramollir la neige un peu, mais elle reste trop dure pour que la descente soit vraiment un plaisir. Pas de glisse possible sur cette vieille neige durcie, alors les passages les plus raides deviennent assez pénibles. Mais bientôt je suis de nouveau en bas ; les deux longs replats me paraissent interminables en fin de randonnée, mais la terrasse ensoleillée du Berghaus Bärtschi est en vue pour me motiver !
Tourengänger:
stephen

Communities: Schneeschuhtouren, Randonneur
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Kommentare (2)