Nanztal : Rohrbergeri
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Parcage de la voiture proche de la fabrique de la Société Suisse d'Explosifs en espérant la revoir en un seul morceau, puis montée en direction du hameau de Rohrberg par un raide chemin néanmoins carrossable.
Quelques mètres plus haut, je tente de remonter le bisse du Visperi à sa source mais un panneau d'interdiction me recommande d'arrêter séant mon exploration. Prudent, je rebrousse chemin et poursuit ma route jusqu'à l'intersection de Resti.
Là, je m'engage dans le sentier qui grimpe rudement jusqu'à Alpji, puis je rejoins finalement le bisse de Rohrbergeri à l'endroit où il se précipite dans les raides pentes boisées en direction d'Eyholz.
Je vais donc désormais suivre ce bisse légendaire, une aventure qui commence tranquillement, à plat, à travers forêts et pâturages surmontant le hameau de Rohrberg. Juste avant Steinegga, il faut commencer à faire preuve de prudence, le sentier devient étroit et un faux pas pourrait déjà s'avérer malencontreux.
Steinegga, belvédère baignant dans le soleil de mai, où seul le chant du coucou vient perturber la douce tranquillité des lieux.
La suite du parcours nous fait pénétrer dans cette sauvage vallée qu'est la Nanztal et il ne surprendrait personne d'y croiser un Jack London égaré de son lointain Yukon.
Le bisse est maintenant enterré et s'écoule glougloutant dans un tuyaux, enseveli sous mes pieds. Certes, le sentier suspendu à la paroi rocheuse été élargi, mais le vide est toutefois bien présent. Faisons mine de l'ignorer et contemplons la vue sur la Gamsa qui bouillonne 250 mètres en dessous.
Après ces épiques moments, j'arrive finalement à la prise d'eau et au pont permettant de rejoindre l'autre versant de la vallée. Et c'est une route, disons plutôt un chemin, militaire, construit en 1940, qui va me ramener à la civilisation.
Je n'ai finalement pas rencontré Jack London en personne, mais son esprit semble encore souffler, çà et là, dans ces bois de conifères, à la résine odorante.
Quelques mètres plus haut, je tente de remonter le bisse du Visperi à sa source mais un panneau d'interdiction me recommande d'arrêter séant mon exploration. Prudent, je rebrousse chemin et poursuit ma route jusqu'à l'intersection de Resti.
Là, je m'engage dans le sentier qui grimpe rudement jusqu'à Alpji, puis je rejoins finalement le bisse de Rohrbergeri à l'endroit où il se précipite dans les raides pentes boisées en direction d'Eyholz.
Je vais donc désormais suivre ce bisse légendaire, une aventure qui commence tranquillement, à plat, à travers forêts et pâturages surmontant le hameau de Rohrberg. Juste avant Steinegga, il faut commencer à faire preuve de prudence, le sentier devient étroit et un faux pas pourrait déjà s'avérer malencontreux.
Steinegga, belvédère baignant dans le soleil de mai, où seul le chant du coucou vient perturber la douce tranquillité des lieux.
La suite du parcours nous fait pénétrer dans cette sauvage vallée qu'est la Nanztal et il ne surprendrait personne d'y croiser un Jack London égaré de son lointain Yukon.
Le bisse est maintenant enterré et s'écoule glougloutant dans un tuyaux, enseveli sous mes pieds. Certes, le sentier suspendu à la paroi rocheuse été élargi, mais le vide est toutefois bien présent. Faisons mine de l'ignorer et contemplons la vue sur la Gamsa qui bouillonne 250 mètres en dessous.
Après ces épiques moments, j'arrive finalement à la prise d'eau et au pont permettant de rejoindre l'autre versant de la vallée. Et c'est une route, disons plutôt un chemin, militaire, construit en 1940, qui va me ramener à la civilisation.
Je n'ai finalement pas rencontré Jack London en personne, mais son esprit semble encore souffler, çà et là, dans ces bois de conifères, à la résine odorante.
Tourengänger:
ChristianR

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