Fil de Cassons
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C’est en faisant mes courses la veille au soir qu’il me vient l’idée de rompre plus de 2 mois sans randonnée, la faute à un bras dans le plâtre m’ayant handicapé tout l’été : dans les rayons, viande séchée et gâteau aux noix me font regarder la météo et me convainquent de prendre la direction de la Surselva pour quelques heures aux frontières de la Sardona-Ebene.
Il y a moins de randonneurs que je ne le redoutais dans les trains pour les derniers jours de la saison (les remontées ferment bientôt pour préparer la saison hivernale) – mais c’est en fait la période des vacances et je les retrouverai directement en station. Le plateau est dans la brume mais les Grisons sont sous un ciel bleu éclatant et sans nuages, avec des températures qui atteindront plus de 20°C l’après-midi. Je commence vers 10h30 à Naraus (1840m) : mon but est d’atteindre à pied le Fil de Cassons, qui n’est plus desservi par le petit téléphérique depuis la saison dernière.
2h de montée pour 900m de dénivelé sont au programme (2h30 annoncées). Je ne suis vraiment pas seul sur les premiers mètres ; mais la plupart des randonneurs se dirigent vers la cabane de Segnas pour y déjeuner (sans doute). La pente s’accentue ensuite où, en s’approchant de la falaise, l’ombre est bienvenue. Dans ce goulet, la montée en zig-zag est assez tranquille mais j’en crache quand même mes poumons… On débouche sur un col, mais la station d’altitude est encore à un gros quart d’heure de marche, le long d’une première crête.
En arrivant à Fil de Cassons (2678m), nous ne sommes plus que quelques rares courageux. C’est quand même un peu triste de voir la terrasse de la station vide et les installations touristiques (panorama, bancs, …) sous-utilisés. Mais je fais la pause de midi en consommant mes produits locaux (qui ont refait le chemin inverse depuis la ville ahahah). Les Tschingelhörner en arrière-plan, saupoudrés de neige, sont magnifiques.
Je décide de redescendre directement sur la Segnesshütte (2102m), en prenant garde à ne pas glisser sur les chemins légèrement boueux. En atteignant la cabane, les randonneurs sont de nouveau très nombreux. Prenant la direction de Foppa, la station de télésiège intermédiaire, le chemin s’élargit doucement pour finir sur une route en terre. Grâce à quelques traversées de champs, je parviens à Foppa (1424m) en avance sur mon temps de marche et je suis même capable d’attraper le bus postal de 15h30 à Flims.
Il y a moins de randonneurs que je ne le redoutais dans les trains pour les derniers jours de la saison (les remontées ferment bientôt pour préparer la saison hivernale) – mais c’est en fait la période des vacances et je les retrouverai directement en station. Le plateau est dans la brume mais les Grisons sont sous un ciel bleu éclatant et sans nuages, avec des températures qui atteindront plus de 20°C l’après-midi. Je commence vers 10h30 à Naraus (1840m) : mon but est d’atteindre à pied le Fil de Cassons, qui n’est plus desservi par le petit téléphérique depuis la saison dernière.
2h de montée pour 900m de dénivelé sont au programme (2h30 annoncées). Je ne suis vraiment pas seul sur les premiers mètres ; mais la plupart des randonneurs se dirigent vers la cabane de Segnas pour y déjeuner (sans doute). La pente s’accentue ensuite où, en s’approchant de la falaise, l’ombre est bienvenue. Dans ce goulet, la montée en zig-zag est assez tranquille mais j’en crache quand même mes poumons… On débouche sur un col, mais la station d’altitude est encore à un gros quart d’heure de marche, le long d’une première crête.
En arrivant à Fil de Cassons (2678m), nous ne sommes plus que quelques rares courageux. C’est quand même un peu triste de voir la terrasse de la station vide et les installations touristiques (panorama, bancs, …) sous-utilisés. Mais je fais la pause de midi en consommant mes produits locaux (qui ont refait le chemin inverse depuis la ville ahahah). Les Tschingelhörner en arrière-plan, saupoudrés de neige, sont magnifiques.
Je décide de redescendre directement sur la Segnesshütte (2102m), en prenant garde à ne pas glisser sur les chemins légèrement boueux. En atteignant la cabane, les randonneurs sont de nouveau très nombreux. Prenant la direction de Foppa, la station de télésiège intermédiaire, le chemin s’élargit doucement pour finir sur une route en terre. Grâce à quelques traversées de champs, je parviens à Foppa (1424m) en avance sur mon temps de marche et je suis même capable d’attraper le bus postal de 15h30 à Flims.
Tourengänger:
gurgeh

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