De part et d'autre du col de la Bernina
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Je ne savais pas l'Alp Grüm (2091m) si touristique, mais les trains rouges des chemins de fer rhétiques se succèdent et avec eux les flots de touristes qui s'en déversent. Cela dit, ce ne sont pas des randonneurs et je serai le seul à grimper sur les chemins en direction du col de la Bernina.
Pour ne pas suivre exactement la voie de chemin de fer ou la route du col, je monte vers la cabane de Sassal Mason (2349m) encore fermée mais offrant une superbe vue sur le Val Poschiavo. J'avoue que j'aurais grandement apprécié une pause plus revigorante, mais je comprends rapidement pourquoi : de grosses (et profondes) plaques de neige sur la route en interdisent encore l'accès. Il faudra encore attendre quelques semaines.
En atteignant le Lago Bianco (2234m) un peu en contrebas, je regrette un peu le manque d'eau (il y a des endroits où on peut le traverser à sec) mais les plaques de glace forment de petits icebergs et des glaciers miniatures, ce qui rend cette débâcle plutôt jolie. Je contourne le lac par le sud - ou en tout cas j'essaie : la moitié du chemin est encore sous la neige, et rares sont les traces fraiches. Beaucoup d'efforts et de détours sont nécessaires, ce qui confère à cette randonnée normalement facile une difficulté supplémentaire (T2 -> T3).
Je parviens quand même à l'autre barrage du bout du lac, et bascule dans la vallée en longeant le lac Nair par la gauche. La descente jusqu'à la gare de Diavolezza (2080m), au départ du téléphérique, est beaucoup plus agréable, bien qu'encore entrecoupée parfois de névés.
Pour ne pas suivre exactement la voie de chemin de fer ou la route du col, je monte vers la cabane de Sassal Mason (2349m) encore fermée mais offrant une superbe vue sur le Val Poschiavo. J'avoue que j'aurais grandement apprécié une pause plus revigorante, mais je comprends rapidement pourquoi : de grosses (et profondes) plaques de neige sur la route en interdisent encore l'accès. Il faudra encore attendre quelques semaines.
En atteignant le Lago Bianco (2234m) un peu en contrebas, je regrette un peu le manque d'eau (il y a des endroits où on peut le traverser à sec) mais les plaques de glace forment de petits icebergs et des glaciers miniatures, ce qui rend cette débâcle plutôt jolie. Je contourne le lac par le sud - ou en tout cas j'essaie : la moitié du chemin est encore sous la neige, et rares sont les traces fraiches. Beaucoup d'efforts et de détours sont nécessaires, ce qui confère à cette randonnée normalement facile une difficulté supplémentaire (T2 -> T3).
Je parviens quand même à l'autre barrage du bout du lac, et bascule dans la vallée en longeant le lac Nair par la gauche. La descente jusqu'à la gare de Diavolezza (2080m), au départ du téléphérique, est beaucoup plus agréable, bien qu'encore entrecoupée parfois de névés.
Tourengänger:
gurgeh

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