Bel Oiseau
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Cela faisait un bon moment que je lorgnais du côté du Bel Oiseau. En fait cela faisait depuis, qu'après avoir passé plusieurs fois le long du Lac d'Emosson et d'avoir remarqué les inscriptions pour le Bel Oiseau que je m'étais dit qu'il faudrait que j'y monte. De plus, j'imaginais (avec raison) que cela devait être un somptueux belvédère.
Ainsi, je me suis rendu au Col de la Gueulaz afin de pouvoir partir effectuer cette randonnée.
En arrivant au Col de la Gueulaz, j'avais remarqué qu'il venaient de charger une pelle mécanique sur une remorque. Et je m'étais dit intérieurement "cela va être une belle pagaille sur la route de Finhaut". J'ignorais totalement qu'un tunnel permettait d'éviter d'amener toutes ces machines par la route normale.
Le début de la randonnée a des airs d'expédition spéléologique. En effet, il faut traverser le tunnel de 700m de long avant de poursuivre sa route. Je me souviens avoir traversé plusieurs fois ce tunnel en compagnie d'un mulet lorsque je venais du Col de Barberine... mais c'est vieux tout ça.
Après avoir traversé un deuxième tunnel et contourné une tête rocheuse, on aperçoit alors une autre tête rocheuse. C'est derrière celle-ci que le sentier monte. C'est également derrière celle-ci que l'on trouve l'inscription sur un rocher. On peut cependant monter directement devant la tête rocheuse.
Depuis l'inscription, le sentier est bien tracé au sol même s'il n'est pas balisé. On ne peut guère le perdre et quelques cairns permettent de suivre la direction.
Après avoir remonté des pentes gazonnées entrecoupées de roches moutonnées, on arrive au bord d'une cuvette séparant le sommet nord du sommet sud. On peut alors à loisir grimper sur l'un ou l'autre des sommets.
Pour ma part, j'avais gravis la croupe herbeuse pour me rendre au sommet nord. J'ai ensuite suivi l'arête joignant les deux sommets. Même si elle a un aspect rébarbatif, elle se parcourt très facilement.
Les cartes nationales ne mentionnaient pas l'existence du sentier jusqu'en 1990... depuis c'est chose faite...
Ainsi, je me suis rendu au Col de la Gueulaz afin de pouvoir partir effectuer cette randonnée.
En arrivant au Col de la Gueulaz, j'avais remarqué qu'il venaient de charger une pelle mécanique sur une remorque. Et je m'étais dit intérieurement "cela va être une belle pagaille sur la route de Finhaut". J'ignorais totalement qu'un tunnel permettait d'éviter d'amener toutes ces machines par la route normale.
Le début de la randonnée a des airs d'expédition spéléologique. En effet, il faut traverser le tunnel de 700m de long avant de poursuivre sa route. Je me souviens avoir traversé plusieurs fois ce tunnel en compagnie d'un mulet lorsque je venais du Col de Barberine... mais c'est vieux tout ça.
Après avoir traversé un deuxième tunnel et contourné une tête rocheuse, on aperçoit alors une autre tête rocheuse. C'est derrière celle-ci que le sentier monte. C'est également derrière celle-ci que l'on trouve l'inscription sur un rocher. On peut cependant monter directement devant la tête rocheuse.
Depuis l'inscription, le sentier est bien tracé au sol même s'il n'est pas balisé. On ne peut guère le perdre et quelques cairns permettent de suivre la direction.
Après avoir remonté des pentes gazonnées entrecoupées de roches moutonnées, on arrive au bord d'une cuvette séparant le sommet nord du sommet sud. On peut alors à loisir grimper sur l'un ou l'autre des sommets.
Pour ma part, j'avais gravis la croupe herbeuse pour me rendre au sommet nord. J'ai ensuite suivi l'arête joignant les deux sommets. Même si elle a un aspect rébarbatif, elle se parcourt très facilement.
Les cartes nationales ne mentionnaient pas l'existence du sentier jusqu'en 1990... depuis c'est chose faite...
Tourengänger:
genepi

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