Du col du Sanetsch au Glacier des Diablerets
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Rando tranquille en altitude (2000-3000m environ), idéale avec la canicule de ces jours. Montée régulière, pas trop dure, mais sur un terrain en grande partie pierreux, puis sur glacier sur la fin (sans danger).
Départ de Gsteig (accès en bus postal depuis Gstaad ou Les Diablerets), puis une vingtaine de minutes à pied jusqu'au téléphérique qui monte au Sanetsch (8 fr. avec l'AG ou le demi-tarif en 2015). Compter +2h et 850m de dénivelé en plus pour monter à pied. Il s'agit d'un curieux téléphérique à va et vient, mais les bennes sont deux cabines de télécabine 8 places! On monte sans personnel accompagnant, en verrouillant soi-même la porte.
Arrivé en haut, on tombe sur le lac de barrage du Sanetsch, dans un site magnifique. Resto d'altitude. Il est d'ailleurs possible d'y accéder en car postal depuis Sion. De là, montée en 1h jusqu'au col du Sanetsch sur sentier en suivant l'une des rives du lac (la rive droite est plus jolie), puis départ de la montée vers le Sex rouge avec le glacier de Tsanfleuron en toile de fond. La montée commence sur une prairie, avant une longue et belle section sur les lapiaz de Tsanfleuron, jusqu'à la cabane de Prarochet. Reste 1h de montée dans la pierraille et les derniers névés qui résistent tant bien que mal à la canicule jusqu'à la Quille du Diable (superbe vue plongeante sur Derborence) et sa buvette. On rejoint ensuite le Sex rouge en traversant le glacier (trace aménagée) en environ 30 minutes, pénibles car la neige est, bien sûr, liquéfiée par le soleil de l’après-midi. La descente en téléphérique coûte 28 fr. avec l'AG ou le demi-tarif (en 2015).
Côté affluence, c'était la grosse foule (toutes proportions gardées, certes, mais pour moi, dès qu'on dépasse les dix têtes, eh bien...): une bonne trentaine de personnes croisées, surtout dans le sens de la montée (ce qui est très étonnant, car chacun sait que la grande majorité des promeneurs et randonneurs choisissent le sens descendant). Pas de miracle, c'est un itinéraire classique.
A noter que je n'avais jamais vu le glacier dans un tel état mi-juillet: glace vive presque partout, sommet du téléphérique pas enneigé, télésiège pas enneigé, et les deux téléskis du bas du glacier ont déjà une bonne moitié de leur ligne à même le rocher, ça fait peur!! Les pistes de ski sont déjà fermées et le resteront jusqu'à l'automne.
Départ de Gsteig (accès en bus postal depuis Gstaad ou Les Diablerets), puis une vingtaine de minutes à pied jusqu'au téléphérique qui monte au Sanetsch (8 fr. avec l'AG ou le demi-tarif en 2015). Compter +2h et 850m de dénivelé en plus pour monter à pied. Il s'agit d'un curieux téléphérique à va et vient, mais les bennes sont deux cabines de télécabine 8 places! On monte sans personnel accompagnant, en verrouillant soi-même la porte.
Arrivé en haut, on tombe sur le lac de barrage du Sanetsch, dans un site magnifique. Resto d'altitude. Il est d'ailleurs possible d'y accéder en car postal depuis Sion. De là, montée en 1h jusqu'au col du Sanetsch sur sentier en suivant l'une des rives du lac (la rive droite est plus jolie), puis départ de la montée vers le Sex rouge avec le glacier de Tsanfleuron en toile de fond. La montée commence sur une prairie, avant une longue et belle section sur les lapiaz de Tsanfleuron, jusqu'à la cabane de Prarochet. Reste 1h de montée dans la pierraille et les derniers névés qui résistent tant bien que mal à la canicule jusqu'à la Quille du Diable (superbe vue plongeante sur Derborence) et sa buvette. On rejoint ensuite le Sex rouge en traversant le glacier (trace aménagée) en environ 30 minutes, pénibles car la neige est, bien sûr, liquéfiée par le soleil de l’après-midi. La descente en téléphérique coûte 28 fr. avec l'AG ou le demi-tarif (en 2015).
Côté affluence, c'était la grosse foule (toutes proportions gardées, certes, mais pour moi, dès qu'on dépasse les dix têtes, eh bien...): une bonne trentaine de personnes croisées, surtout dans le sens de la montée (ce qui est très étonnant, car chacun sait que la grande majorité des promeneurs et randonneurs choisissent le sens descendant). Pas de miracle, c'est un itinéraire classique.
A noter que je n'avais jamais vu le glacier dans un tel état mi-juillet: glace vive presque partout, sommet du téléphérique pas enneigé, télésiège pas enneigé, et les deux téléskis du bas du glacier ont déjà une bonne moitié de leur ligne à même le rocher, ça fait peur!! Les pistes de ski sont déjà fermées et le resteront jusqu'à l'automne.
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clash
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