Schwanden - Blueme - Oberhofen
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Les flancs du Blueme sont parcourus de nombreux sentiers balcons qui offrent une vue imprenable sur le lac de Thoune, le Niesen et, au-delà, le massif de la Jungfrau. L’endroit est bien desservi par les transports publics et le sommet aisément accessible depuis les localités qui s’égrènent au-dessus de Sigriswil.
Nous descendons du bus à Schwanden Sagi et prenons la direction de Margelsattel. Il faut revenir un peu en arrière, passer derrière le Planetarium et, plus loin, prendre à droite le « Rundweg » qui monte le long d’une petite route. Le sentier file ensuite sur la gauche, à travers une forêt et des prairies d’un vert très vif. Derrière les collines herbeuses, la pointe sombre du Niesen, taquinée par quelques nuages, émerge peu à peu sur fond de ciel bleu.
Au-dessus de Tschingelallmi, le sentier s’enfonce dans la forêt. Plus aucune échappée sur le lac et les montagnes, même au sommet, vaste clairière entourée de hauts arbres. Mais une tour panoramique, version métal de la tour de Sauvabelin, offre une vue qui porte très loin, du Pilatus au Chasseral en passant par l’Emmental et la Forêt Noire... si elle ne disparaît pas dans la ligne de brume.
Nous nous arrêtons un peu au-dessus de Heiligenschwendi, face au Niesen, pour pique-niquer. A proximité du banc, une main habile a aménagé sur moins d’un mètre carré un jardin alpin miniature où poussent des gentianes vigoureuses. Nous redescendrons sur Oberhofen, suite à un caprice de ma part : j’avais très envie de clore cette journée par un petit trajet en bateau. Mais la descente, sur des petites routes raides et asphaltées, sera un peu éprouvante pour les genoux.
Notre randonnée se termine devant un bon café au restaurant de l’embarcadère, où des palmiers en pots donnent à l’endroit un petit air méditerranéen.
Nous descendons du bus à Schwanden Sagi et prenons la direction de Margelsattel. Il faut revenir un peu en arrière, passer derrière le Planetarium et, plus loin, prendre à droite le « Rundweg » qui monte le long d’une petite route. Le sentier file ensuite sur la gauche, à travers une forêt et des prairies d’un vert très vif. Derrière les collines herbeuses, la pointe sombre du Niesen, taquinée par quelques nuages, émerge peu à peu sur fond de ciel bleu.
Au-dessus de Tschingelallmi, le sentier s’enfonce dans la forêt. Plus aucune échappée sur le lac et les montagnes, même au sommet, vaste clairière entourée de hauts arbres. Mais une tour panoramique, version métal de la tour de Sauvabelin, offre une vue qui porte très loin, du Pilatus au Chasseral en passant par l’Emmental et la Forêt Noire... si elle ne disparaît pas dans la ligne de brume.
Nous nous arrêtons un peu au-dessus de Heiligenschwendi, face au Niesen, pour pique-niquer. A proximité du banc, une main habile a aménagé sur moins d’un mètre carré un jardin alpin miniature où poussent des gentianes vigoureuses. Nous redescendrons sur Oberhofen, suite à un caprice de ma part : j’avais très envie de clore cette journée par un petit trajet en bateau. Mais la descente, sur des petites routes raides et asphaltées, sera un peu éprouvante pour les genoux.
Notre randonnée se termine devant un bon café au restaurant de l’embarcadère, où des palmiers en pots donnent à l’endroit un petit air méditerranéen.
Tourengänger:
Elisabeth

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