L'hospice... encore une fois
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Je ne saurais compter le nombre de fois que je me suis rendu à l'hospice du Grand Saint-Bernard.
Les premières fois, c'était lorsque les remontées mécaniques du Col de Menouve fonctionnaient encore. L'inconvénient était alors qu'il fallait suivre un bon bout de la route du col, qui, en hiver, était parcourue par la piste de ski. L'avantage était que l'on pouvait, avant le départ, ou au retour, aller boire un café ou une bière... et profiter des commodités. Avec la fermeture des remontées mécaniques, cette possibilité n'existe plus. L'autre inconvénient est que le parking n'est plus aussi dégagé qu'auparavant... et qu'il est parfois difficile de trouver une place.
Le week-end où je me suis rendu à l'hospice, le temps annoncé était beau et chaud... cela me changeait un peu de la météo que j'avais eue les années précédentes.
Comme à l'accoutumée, je me suis rendu au col, et après avoir bu le thé de bienvenue, je suis parti pour traverser le lac et aller jeter un coup d'oeil du côté italien.
La neige était de piètre qualité non seulement à cause de la chaleur, mais également à cause de la fine couche de poussière du Sahara qui était tombée courant février.
Après avoir retraversé la frontière, je suis rentré définitivement à l'hospice.
Les premières fois, c'était lorsque les remontées mécaniques du Col de Menouve fonctionnaient encore. L'inconvénient était alors qu'il fallait suivre un bon bout de la route du col, qui, en hiver, était parcourue par la piste de ski. L'avantage était que l'on pouvait, avant le départ, ou au retour, aller boire un café ou une bière... et profiter des commodités. Avec la fermeture des remontées mécaniques, cette possibilité n'existe plus. L'autre inconvénient est que le parking n'est plus aussi dégagé qu'auparavant... et qu'il est parfois difficile de trouver une place.
Le week-end où je me suis rendu à l'hospice, le temps annoncé était beau et chaud... cela me changeait un peu de la météo que j'avais eue les années précédentes.
Comme à l'accoutumée, je me suis rendu au col, et après avoir bu le thé de bienvenue, je suis parti pour traverser le lac et aller jeter un coup d'oeil du côté italien.
La neige était de piètre qualité non seulement à cause de la chaleur, mais également à cause de la fine couche de poussière du Sahara qui était tombée courant février.
Après avoir retraversé la frontière, je suis rentré définitivement à l'hospice.
Tourengänger:
genepi

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