Brienzer Rothorn, au-dessus de nuages
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Pas de doute, l'automne est là… depuis le milieu de la semaine, Neuchâtel se trouve sous une chape de stratus qui se dissipe plus ou moins selon les jours. Même au Brünigpass dimanche matin, à mille mètres, il n'est pas facile de dire si on va vraiment être au-dessus des nuages ou pas.
Après une première heure en forêt, nous quittons les arbres au niveau d'un petit groupe de chalets dont la plupart sont occupés par des vacanciers. A partir d'ici, le sentier devient étroit et traverse le flanc sud escarpé du Wilerhorn. Même si le sentier est bon, les pentes sont abruptes et il y a des endroits où il ne faudrait pas tomber. Un seul endroit est sécurisé par un câble et ce n'est pas l'endroit le plus exposé, loin de là ! En raison de l'absence de câbles ou de chaînes, tout ce parcours est à la limite entre T2 et T3.
Nous avions prévu de prendre le chemin des crêtes qui passe par l'Arnihaggen, mais nous loupons bêtement la bifurcation au point 1763m (balisé Schönbüel) et nous en rendons compte seulement une demi-heure plus tard, en voyant le sentier descendre vers les chalets de Chäseren. Tant pis pour l'Arnihaggen, nous avons fait trop de chemin pour faire demi-tour. La brume d'altitude a fini par se dissiper, laissant place à un ciel bleu et à un soleil qui tape fort. Il n'y a pas un poil d'ombre, en plein été cet itinéraire doit être une vraie fournaise. En bas, les stratus ont complètement recouvert le Brienzersee et semblent remonter petit à petit vers les crêtes.
Une montée raide nous mène au Lammbachgraben, dévaloir raide et sinistre, puis à l'Eiseesattel où nous cassons la croûte au soleil. La dernière montée jusqu'au sommet semble interminable mais nous y sommes enfin et nous pouvons bénéficier d'une belle vue dans toutes les directions, avec d'innombrables sommets sortant leur tête des stratus qui recouvrent les vallées.
Il est trop tard pour descendre à pied et le train est cher ; nous optons pour le téléphérique de Sörenberg. A mi-descente, très soudainement, nous entrons dans les nuages, la vue panoramique est réduite à rien et l'air devient froid… en l'espace de deux secondes, nous avons quitté l'été et sommes revenus en automne !
Après une première heure en forêt, nous quittons les arbres au niveau d'un petit groupe de chalets dont la plupart sont occupés par des vacanciers. A partir d'ici, le sentier devient étroit et traverse le flanc sud escarpé du Wilerhorn. Même si le sentier est bon, les pentes sont abruptes et il y a des endroits où il ne faudrait pas tomber. Un seul endroit est sécurisé par un câble et ce n'est pas l'endroit le plus exposé, loin de là ! En raison de l'absence de câbles ou de chaînes, tout ce parcours est à la limite entre T2 et T3.
Nous avions prévu de prendre le chemin des crêtes qui passe par l'Arnihaggen, mais nous loupons bêtement la bifurcation au point 1763m (balisé Schönbüel) et nous en rendons compte seulement une demi-heure plus tard, en voyant le sentier descendre vers les chalets de Chäseren. Tant pis pour l'Arnihaggen, nous avons fait trop de chemin pour faire demi-tour. La brume d'altitude a fini par se dissiper, laissant place à un ciel bleu et à un soleil qui tape fort. Il n'y a pas un poil d'ombre, en plein été cet itinéraire doit être une vraie fournaise. En bas, les stratus ont complètement recouvert le Brienzersee et semblent remonter petit à petit vers les crêtes.
Une montée raide nous mène au Lammbachgraben, dévaloir raide et sinistre, puis à l'Eiseesattel où nous cassons la croûte au soleil. La dernière montée jusqu'au sommet semble interminable mais nous y sommes enfin et nous pouvons bénéficier d'une belle vue dans toutes les directions, avec d'innombrables sommets sortant leur tête des stratus qui recouvrent les vallées.
Il est trop tard pour descendre à pied et le train est cher ; nous optons pour le téléphérique de Sörenberg. A mi-descente, très soudainement, nous entrons dans les nuages, la vue panoramique est réduite à rien et l'air devient froid… en l'espace de deux secondes, nous avons quitté l'été et sommes revenus en automne !
Tourengänger:
stephen

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