Alvier
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Sur la route depuis Buchs, nous traversons une première zone de nuages, avant d'arriver au parking de la Berghaus Malbun (1371m). Mais il y en a encore une - et sans doute plus épaisse - qui coiffe les sommets du massif de l'Alvier. On part en même temps que 2 autres couples, qui prennent cela dit la direction du Margelchopf. On est seul sur ce chemin. Pourtant, il y a quelques éclaircies qui percent, ce qui laisse présager d'une belle randonnée.
En arrivant sur l'alpe, on s'aperçoit malheureusement que ce ne sera pas le cas, avec un beau plafond à 2'000m... Comme cette alpe accueille des chèvres, les sentiers et les passages en prairie sont moins défoncés, mais l'humidité rend quand même la progression délicate par endroits. Il faut rester concentré.
En atteignant la Barbielergrat (1970m), on découvre qu'en plus du brouillard, le vent souffle assez fort sur la crête. Crête que l'on va suivre jusqu'au sommet, mais dont on en découvre seulement 20 mètres à la fois, tellement le brouillard est dense. Et même si nous montons finalement rapidement, cela paraît interminable, sans aucun point de repère ni horizon.
Et puis soudain, on entend le bruit du vent qui fait claquer le drapeau au sommet de l'Alvier (2341m). On distingue à peine le haut du drapeau, et encore moins la cabane située pourtant à 30 mètres de là... Mais nous sommes heureux de la trouver ouverte, avec quelques places libres et surtout une excellente Gerstensuppe qui nous réchauffe parfaitement !
Au bout d'une heure, nous quittons la cabane et redescendons (en courant) par le même chemin. L'idée était au début de faire une boucle en descendant par la crête nord, plus exposée et moins bien marquée, mais les conditions météo (et l'avis du responsable de la cabane) finissement de nous convaincre du contraire. Il y a encore quelques personnes qui montent, mais sans grand espoir d'avoir la vue au sommet. Je reviendrai assurément, et ce sera une autre randonnée si le ciel est dégagé !
En arrivant sur l'alpe, on s'aperçoit malheureusement que ce ne sera pas le cas, avec un beau plafond à 2'000m... Comme cette alpe accueille des chèvres, les sentiers et les passages en prairie sont moins défoncés, mais l'humidité rend quand même la progression délicate par endroits. Il faut rester concentré.
En atteignant la Barbielergrat (1970m), on découvre qu'en plus du brouillard, le vent souffle assez fort sur la crête. Crête que l'on va suivre jusqu'au sommet, mais dont on en découvre seulement 20 mètres à la fois, tellement le brouillard est dense. Et même si nous montons finalement rapidement, cela paraît interminable, sans aucun point de repère ni horizon.
Et puis soudain, on entend le bruit du vent qui fait claquer le drapeau au sommet de l'Alvier (2341m). On distingue à peine le haut du drapeau, et encore moins la cabane située pourtant à 30 mètres de là... Mais nous sommes heureux de la trouver ouverte, avec quelques places libres et surtout une excellente Gerstensuppe qui nous réchauffe parfaitement !
Au bout d'une heure, nous quittons la cabane et redescendons (en courant) par le même chemin. L'idée était au début de faire une boucle en descendant par la crête nord, plus exposée et moins bien marquée, mais les conditions météo (et l'avis du responsable de la cabane) finissement de nous convaincre du contraire. Il y a encore quelques personnes qui montent, mais sans grand espoir d'avoir la vue au sommet. Je reviendrai assurément, et ce sera une autre randonnée si le ciel est dégagé !
Tourengänger:
gurgeh

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