Cornebois
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Après l'accident que j'y avais eu en 2010 et l'échec de son ascension (voir mon rapport "Accident à Cornebois"), j'ai enfin trouvé l'occasion de gravir ce petit sommet sur la frontière franco-suisse.
La balade ne présente que deux difficultés: trouver le départ du chemin à Plaine-Dranse et sortir des tranchées aménagées pour le ski à proximité de l'arrivée du télésiège de Cornebois.
Après avoir suivi de courts instants un large chemin qui monte entre les chalets puis s'incurve vers la droite avant de se terminer, je me suis engagé et égaré dans ce que je croyais être un chemin, mais qui s'est révélé être plutôt une sorte de ruisseau. Par des pentes d'herbes humides j'ai pu rejoindre un croisement de chemins carrossables puis ai continué sur des zones aménagées pour le ski avant de retrouver l'itinéraire correct un peu en-dessous de la Chaux-des-Rosées. A proximité de la station supérieure du télésiège de Cornebois j'ai poursuivi la tranchée en légère descente sur un peu plus de 100 mètres et me suis aperçu qu'elle effectuait un coude et donnait un accès moins difficile à la combe entre les sommets. Ce qui n'était que des pentes de sable et pierres instables il y a 6 ans est maintenant de nouveau peuplé par la végétation.
Dans la combe, après un passage dans une zone de terre et pierraille on trouve une pente de pierres plus grosses qui paraissent plus stables, mais il n'en est rien, comme j'en ai fait l'expérience lors de la descente lorsqu'une dalle d'environ 1 mètre sur 50 centimètres s'est mise en mouvement sous mon pied et a glissé de plusieurs mètres!
Le haut de la combe est herbeux de même que le sommet à droite (Cornebois proprement dit) que j'ai atteint en quelques minutes. Le sommet de gauche, appelé aussi Bécor est rocheux et son accès doit se faire par des entassements de petites dalles assez étonnants.
Même par un temps bien nuageux j'ai pu avoir une très belle vue depuis le sommet de Cornebois, d'un côté jusqu'à la Dent Blanche, au Rothorn de Zinal et au Weisshorn, de l'autre jusqu'au Léman. Par beau temps limpide on devrait encore voir beaucoup plus.
Pour la descente j'ai suivi le chemin carrossable jusqu'au croisement mentionné à l'aller puis ai pris à droite le chemin en descente. Ce chemin se termine vers une butte et se poursuit par un sentier qui passe par la droite. Le sentier est souvent malaisé avec de grandes marches ou des parties terreuses et glissantes. Il rejoint le chemin que j'avais pris à l'aller à proximité d'un pylône du télésiège et j'ai pu noter l'endroit où je m'étais trompé en montant. Depuis là il est possible de rejoindre le parking par des traces de passage dans une pente d'herbe longeant le télésiège.
La balade ne présente que deux difficultés: trouver le départ du chemin à Plaine-Dranse et sortir des tranchées aménagées pour le ski à proximité de l'arrivée du télésiège de Cornebois.
Après avoir suivi de courts instants un large chemin qui monte entre les chalets puis s'incurve vers la droite avant de se terminer, je me suis engagé et égaré dans ce que je croyais être un chemin, mais qui s'est révélé être plutôt une sorte de ruisseau. Par des pentes d'herbes humides j'ai pu rejoindre un croisement de chemins carrossables puis ai continué sur des zones aménagées pour le ski avant de retrouver l'itinéraire correct un peu en-dessous de la Chaux-des-Rosées. A proximité de la station supérieure du télésiège de Cornebois j'ai poursuivi la tranchée en légère descente sur un peu plus de 100 mètres et me suis aperçu qu'elle effectuait un coude et donnait un accès moins difficile à la combe entre les sommets. Ce qui n'était que des pentes de sable et pierres instables il y a 6 ans est maintenant de nouveau peuplé par la végétation.
Dans la combe, après un passage dans une zone de terre et pierraille on trouve une pente de pierres plus grosses qui paraissent plus stables, mais il n'en est rien, comme j'en ai fait l'expérience lors de la descente lorsqu'une dalle d'environ 1 mètre sur 50 centimètres s'est mise en mouvement sous mon pied et a glissé de plusieurs mètres!
Le haut de la combe est herbeux de même que le sommet à droite (Cornebois proprement dit) que j'ai atteint en quelques minutes. Le sommet de gauche, appelé aussi Bécor est rocheux et son accès doit se faire par des entassements de petites dalles assez étonnants.
Même par un temps bien nuageux j'ai pu avoir une très belle vue depuis le sommet de Cornebois, d'un côté jusqu'à la Dent Blanche, au Rothorn de Zinal et au Weisshorn, de l'autre jusqu'au Léman. Par beau temps limpide on devrait encore voir beaucoup plus.
Pour la descente j'ai suivi le chemin carrossable jusqu'au croisement mentionné à l'aller puis ai pris à droite le chemin en descente. Ce chemin se termine vers une butte et se poursuit par un sentier qui passe par la droite. Le sentier est souvent malaisé avec de grandes marches ou des parties terreuses et glissantes. Il rejoint le chemin que j'avais pris à l'aller à proximité d'un pylône du télésiège et j'ai pu noter l'endroit où je m'étais trompé en montant. Depuis là il est possible de rejoindre le parking par des traces de passage dans une pente d'herbe longeant le télésiège.
Tourengänger:
Piccolo_M

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