Un Petit et un Grand... tout cela dans la même journée
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Cet itinéraire est décrit en détail dans le guide "Randonnée Alpine, Haute-Savoie et Suisse Romande" de François Labande, Artou.
Recommandations:
L'ascension du Petit Bargy en passant par la Tête des Bécus ne pose pas de réels problèmes. La difficulté provient du fait que l'on évolue sur des Lapiaz. La descente sur et du Col d'Encrenaz est très raide mais sans difficultés.
L'ascension du Grand Bargy ne doit être entreprise que par bonne visibilité. En effet, le paysage relativement monotone des Lapiaz de la chaîne peut rendre difficile l'orientation en cas de brouillard. Il n'y a pas de balisage et seuls quelques cairns donnent la direction. Au dessus du Col d'Encrenaz, une petite barre de rochers coupe la pente. Les cairns invitent à remonter une cheminée. Il est cependant préférable, au pied de la cheminée, d'emprunter vers la droite une rampe caillouteuse passant derrière un bloc de rocher.
Cela faisait depuis très longtemps que je n'avais pas effectué une partie de cette randonnée. En effet, la dernière fois que j'ai gravi le Petit Bargy doit remonter à plus de 15 ans. Je me souviens très bien de la première fois... puisque c'était dans le cadre de la formation d'accompagnateur. Quand au Grand Bargy... je n'y avais jamais mis les pieds.
Premier défi: arriver suffsamment tôt afin de pouvoir encore trouver de la place. En effet, le chemin forestier est étroit et les places de stationnement sont rares. Pour l'itinéraire au départ de Saint-Bruno, on ne peut pas se tromper: il suffit de suivre le chemin forestier. Celui-ci ne tarde pas à déboucher à Malatrait avant de traverser forêts et pâturages et rejoindre les chalets de la Cha. C'est là que les choses sérieuses commencent.
On peut certes monter directement au Col de l'Encrenaz, mais il est plus pittoresque de suivre le sentier pour la Tête des Bécus. Celui-ci évolue de manière assez monotone dans les sous-bois et commence à grimper de plus en plus raide. Après un court passage dans les éboulis, on gagne la crête non loin de la Tête des Bécus.
Le sentier suit plus ou moins la crête jusqu'au sommet en évitant au mieux les trous et les zones trop crevassées.
Arrivé au sommet, la descente s'effectue de manière raide en direction du Col d'Encrenaz.
La suite, pour le Grand Bargy, grimpe de manière raide, en face. De temps en temps, un cairn donne la direction. On peut également regarder la roche. Là où elle est teintée de brun se trouve le passage.
Après le premier bout raide, on arrive sur une longue dorsale avec plusieurs petit sommets intermédiaires. Ceux-ci se contournent par la gauche. Quelques passages sont un peu scabreux (traversée d'un trou, parcours le long du bord, ...) mais sans trop de difficulté en cas de beau temps. Pas question, cependant, de prendre la pluie ici.
Recommandations:
L'ascension du Petit Bargy en passant par la Tête des Bécus ne pose pas de réels problèmes. La difficulté provient du fait que l'on évolue sur des Lapiaz. La descente sur et du Col d'Encrenaz est très raide mais sans difficultés.
L'ascension du Grand Bargy ne doit être entreprise que par bonne visibilité. En effet, le paysage relativement monotone des Lapiaz de la chaîne peut rendre difficile l'orientation en cas de brouillard. Il n'y a pas de balisage et seuls quelques cairns donnent la direction. Au dessus du Col d'Encrenaz, une petite barre de rochers coupe la pente. Les cairns invitent à remonter une cheminée. Il est cependant préférable, au pied de la cheminée, d'emprunter vers la droite une rampe caillouteuse passant derrière un bloc de rocher.
Cela faisait depuis très longtemps que je n'avais pas effectué une partie de cette randonnée. En effet, la dernière fois que j'ai gravi le Petit Bargy doit remonter à plus de 15 ans. Je me souviens très bien de la première fois... puisque c'était dans le cadre de la formation d'accompagnateur. Quand au Grand Bargy... je n'y avais jamais mis les pieds.
Premier défi: arriver suffsamment tôt afin de pouvoir encore trouver de la place. En effet, le chemin forestier est étroit et les places de stationnement sont rares. Pour l'itinéraire au départ de Saint-Bruno, on ne peut pas se tromper: il suffit de suivre le chemin forestier. Celui-ci ne tarde pas à déboucher à Malatrait avant de traverser forêts et pâturages et rejoindre les chalets de la Cha. C'est là que les choses sérieuses commencent.
On peut certes monter directement au Col de l'Encrenaz, mais il est plus pittoresque de suivre le sentier pour la Tête des Bécus. Celui-ci évolue de manière assez monotone dans les sous-bois et commence à grimper de plus en plus raide. Après un court passage dans les éboulis, on gagne la crête non loin de la Tête des Bécus.
Le sentier suit plus ou moins la crête jusqu'au sommet en évitant au mieux les trous et les zones trop crevassées.
Arrivé au sommet, la descente s'effectue de manière raide en direction du Col d'Encrenaz.
La suite, pour le Grand Bargy, grimpe de manière raide, en face. De temps en temps, un cairn donne la direction. On peut également regarder la roche. Là où elle est teintée de brun se trouve le passage.
Après le premier bout raide, on arrive sur une longue dorsale avec plusieurs petit sommets intermédiaires. Ceux-ci se contournent par la gauche. Quelques passages sont un peu scabreux (traversée d'un trou, parcours le long du bord, ...) mais sans trop de difficulté en cas de beau temps. Pas question, cependant, de prendre la pluie ici.
Tourengänger:
genepi

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