Banc de la Conche
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Sur les cartes anciennes figure un itinéraire qui traverse le "Banc de la Conche", raccourci emprunté par les alpinistes partis au matin du refuge de Font Turbat pour traverser l'Olan qui désirent y revenir au soir sans descendre à Côte Belle... raccourci dont le balisage aurait été camouflé par le Parc...
La première difficulté consiste à traverser la moraine du Glacier du Clôt : sans piolet nous avons fait le choix de ne pas traverser les pentes abruptes des "Ruines" en direction de la cheminée blanchâtre, mais de les contourner par un large détour (qui aurait gagné à l'être encore plus sur la fin) pour prendre pied au dessus des "Rognons" par quelques pas de II dans des rochers rougeâtres...
La seconde, c'est d'accepter de suivre les cairns qui invitent à descendre dans la première combe : au contraire nous suivons une diaclase ascendante très commode, quitte à se sentir fort dépourvus de certitudes pour la suite... Dans le seconde combe il vaut mieux éviter de traverser à hauteur, il est préférable de descendre en zig-zag dans un premier temps pour remonter une vire encombrée d'éboulis vers la prochaine arrête. On redescend sur cette arrête pour traverser plus une troisième combe plus commode, au pied du grand pierrier rouge, où on croise en débris des Rafales de 1987. Nous avons descendu avec prudence la quatrième combe, un ravin (dit "Asolo") aux chutes de pierres importantes, pour retrouver les sentes kairnées très engagées qui traversent jusqu'à la descente (pour certain chanceux en "moulinette") dans la cinquième combe... Reste alors à suivre les kairns pour atteindre le Col Turbat...
En résumé... Trittsicherheit und Schwindelfreiheit erforderlich!
La première difficulté consiste à traverser la moraine du Glacier du Clôt : sans piolet nous avons fait le choix de ne pas traverser les pentes abruptes des "Ruines" en direction de la cheminée blanchâtre, mais de les contourner par un large détour (qui aurait gagné à l'être encore plus sur la fin) pour prendre pied au dessus des "Rognons" par quelques pas de II dans des rochers rougeâtres...
La seconde, c'est d'accepter de suivre les cairns qui invitent à descendre dans la première combe : au contraire nous suivons une diaclase ascendante très commode, quitte à se sentir fort dépourvus de certitudes pour la suite... Dans le seconde combe il vaut mieux éviter de traverser à hauteur, il est préférable de descendre en zig-zag dans un premier temps pour remonter une vire encombrée d'éboulis vers la prochaine arrête. On redescend sur cette arrête pour traverser plus une troisième combe plus commode, au pied du grand pierrier rouge, où on croise en débris des Rafales de 1987. Nous avons descendu avec prudence la quatrième combe, un ravin (dit "Asolo") aux chutes de pierres importantes, pour retrouver les sentes kairnées très engagées qui traversent jusqu'à la descente (pour certain chanceux en "moulinette") dans la cinquième combe... Reste alors à suivre les kairns pour atteindre le Col Turbat...
En résumé... Trittsicherheit und Schwindelfreiheit erforderlich!
Tourengänger:
marin

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