Kverkfjöll, Virkisfell, pied du Biskupsfell
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Kverkfjöll est un endroit difficile d'accès, encore plus éloigné de toute civilisation que Askja. On est là en bordure des énormes glaciers qui descendent du Vatnajökull.
Une excursion vers la zone géothermique nous tentait, proposée par la gardienne du refuge. Mais il s'agissait d'une grosse excursion avec crampons. Et la météo était incertaine pour le jour suivant, alors que ce soir-là, à notre arrivée, il faisait très beau. A 19 heures nous sommes donc partis nous balader dans les montagnes surplombant le refuge.
Faute de carte, j'ai essayé de mémoriser le croquis des itinéraires visible dans le refuge (cf. image 5). La boucle faisant le tour du Virkisfell semblait idéale sur le plan de la longueur et de la difficulté. Il était 19h au moment du départ, mais en Islande début juillet il reste encore de nombreuses heures de clarté.
Départ derriere le refuge. On escalade la colline en suivant les piquets rouge/jaune et on arrive sur une butte avec des pierres rouges. Puis à l'embranchement, on suit Biskupsfell, a droite en jaune.
Courte et légère descente, avant un plat puis une raide pente de neige. On contourne un sommet de roches noires, c'est le Virkisfell (1108m). On peut l'escalader si l'on veut (sans sentier mais assez facile, c'est de la cendre): depuis son sommet, magnifique vue vers le glacier Dyngjujökull.
On redescend du Virkisfell en revenant sur ses pas. Dans cette petite plaine, on retrouve le balisage jaune, et on se dirige vers une belle montagne aux couleurs ocres. A droite, plus élevé, le Biskupfell.
Un embranchement indique Sigurdarskali tout droit (en descente, flèche rouge), et Biskupsfell (en montée, flèche jaune).
Nouvelle intersection. Cette fois-ci on prend la descente. Il commence à se faire tard, le Biskupfell est un peu trop distant. Les piquets bien espacés nous font redescendre dans la neige, et aussi entre des coulées de lave (plaques lisses). On retrouve un terrain plat, le refuge est en vue.
On rejoint la piste de jeep, qu'il suffit de suivre jusqu'au refuge.
Une excursion vers la zone géothermique nous tentait, proposée par la gardienne du refuge. Mais il s'agissait d'une grosse excursion avec crampons. Et la météo était incertaine pour le jour suivant, alors que ce soir-là, à notre arrivée, il faisait très beau. A 19 heures nous sommes donc partis nous balader dans les montagnes surplombant le refuge.
Faute de carte, j'ai essayé de mémoriser le croquis des itinéraires visible dans le refuge (cf. image 5). La boucle faisant le tour du Virkisfell semblait idéale sur le plan de la longueur et de la difficulté. Il était 19h au moment du départ, mais en Islande début juillet il reste encore de nombreuses heures de clarté.
Départ derriere le refuge. On escalade la colline en suivant les piquets rouge/jaune et on arrive sur une butte avec des pierres rouges. Puis à l'embranchement, on suit Biskupsfell, a droite en jaune.
Courte et légère descente, avant un plat puis une raide pente de neige. On contourne un sommet de roches noires, c'est le Virkisfell (1108m). On peut l'escalader si l'on veut (sans sentier mais assez facile, c'est de la cendre): depuis son sommet, magnifique vue vers le glacier Dyngjujökull.
On redescend du Virkisfell en revenant sur ses pas. Dans cette petite plaine, on retrouve le balisage jaune, et on se dirige vers une belle montagne aux couleurs ocres. A droite, plus élevé, le Biskupfell.
Un embranchement indique Sigurdarskali tout droit (en descente, flèche rouge), et Biskupsfell (en montée, flèche jaune).
Nouvelle intersection. Cette fois-ci on prend la descente. Il commence à se faire tard, le Biskupfell est un peu trop distant. Les piquets bien espacés nous font redescendre dans la neige, et aussi entre des coulées de lave (plaques lisses). On retrouve un terrain plat, le refuge est en vue.
On rejoint la piste de jeep, qu'il suffit de suivre jusqu'au refuge.
Tourengänger:
Philippe Noth
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